Le 18 décembre 2017, le média Streetpress consacrait un article à la profession des agents de sécurité affectés à la surveillance des établissements de nuit (bars et discothèques).
Il citait Maître Vincent Luchez, interrogé comme avocat expert dans le cadre de l'enquête journalistique, pour cerner les particularités de cette filière, la surexposition aux violences, et par conséquent la grande vulnérabilité des cartes professionnelles délivrées par le CNAPS (Conseil national des activités privées de sécurité) compte tenu de la probabilité que ne soit pas reconnue systématiquement la légitime défense mise en oeuvre par les portiers.