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Dans son numéro de novembre-décembre 2017, la revue PSM (Protection Sécurité Magazine) consacrait un entretien avec Maître Vincent Luchez à la question de la réforme de l'armement des agent de sécurité.

Furent abordés la question du calendrier de la réforme et de l'arrivée effective des nouveaux agents sur le terrain, des conditions de formation, et du périmètre réel voulu par les autorités publiques.

Le 18 décembre 2017, le média Streetpress consacrait un article à la profession des agents de sécurité affectés à la surveillance des établissements de nuit (bars et discothèques).

Il citait Maître Vincent Luchez, interrogé comme avocat expert dans le cadre de l'enquête journalistique, pour cerner les particularités de cette filière, la surexposition aux violences, et par conséquent la grande vulnérabilité des cartes professionnelles délivrées par le CNAPS (Conseil national des activités privées de sécurité) compte tenu de la probabilité que ne soit pas reconnue systématiquement la légitime défense mise en oeuvre par les portiers.

Le 6 octobre 2017, Maître Vincent Luchez était cité comme expert dans un article du journal Le Dauphiné libéré consacré à la réforme du droit de l'armement pour les agents de sécurité.

Le 28 juin 2017, Maître Vincent Luchez était interrogé pour le site Expoprotection, sur la réforme du droit de l'armement pour les agents de sécurité privée.

Il en appelait à une clarification des intentions des pouvoirs publics quant à la doctrine d'emploi et au périmètre de cette nouvelle filière de sécurité, et à dissiper l'insécurité juridique susceptible d'inhiber les dirigeants des sociétés de sécurité privée.

Le 3 mai 2017, Maître Vincent Luchez publiait sur le blogue 83-629 consacré à la sécurité privée, le texte intégral de son intervention au salon AccesSecurity traitant de la réforme législative du 28 février 2017 qui devait autoriser une nouvelle catégorie d'agents de sécurité renforcée à porter des armes à feu dans le cadre de leur exercice professionnel, sous la tutelle vigilante du CNAPS (Conseil national des activités privées de sécurité) et des préfectures.

Le 20 juin 2017, Maître Vincent Luchez s'est rendu au salon Preventica de Paris pour donner une conférence sur le thème de l'uberisation de la sécurité privée.

Au plus fort des appels à une uberisation de nombreux métiers, et alors que plusieurs entreprises innovantes se proposaient de modifier en profondeur la manière dont les sociétés de sécurité proposaient leurs prestations, il a tenté de démontrer que l'analyse fondamentale du marché de la sécurité ne permettait pas de constater que le secteur devait emprunter un tel chemin.

Marges faibles, atomisation des opérateurs, salaires bas, statut social précaire, cumul d'emplois, absence de marge de manoeuvre financière, impossibilité et illégitimité d'un refus du mécanisme de cartes professionnelles par le CNAPS (Conseil national des activités privées de sécurité), les principales caractéristiques de la sécurité privée à la française excluent une uberisation réelle, à ne pas confondre avec le recours aux outils numériques.

Le 29 mars 2017, Maître Vincent Luchez donnait une conférence au salon AccesSecurity à Marseille, sur le thème de la réforme du droit de l'armement des agents de sécurité privée.

Quelques mois après le vote de la loi sur la sécurité publique levant l'interdit de l'armement pour les agents de protection physique des personnes et créant une nouvelle catégorie d'agents de surveillance dotés d'armes à feu, il proposait une analyse des motifs et des étapes de ce processus, et envisageait les deux grandes doctrines d'emploi concevables.

Au début de l'année 2017, la revue PSM (Protection Sécurité Magazine) interrogeait Maître Vincent Luchez au sujet des aspects juridiques et éthiques de l'intelligence artificielle appliquée aux questions sécuritaires.

Le 20 juin 2016, Maître Vincent Luchez était interrogé face caméra par les journalistes associés à la tenue du salon Preventica à Lille, au sujet des activités du CJCS et de son regard sur l'avenir de la sécurité privée.

Le 2 novembre 2016, Maître Vincent Luchez participait pour le compte du CJCS (Club des jeunes cadres en sûreté) à un déjeuner-débat organisé par le club Mieux vivre en ville, aux côtés de Claude Tarlet, président du think tank FFSP, du président de la Fédération du drone civil, et de plusieurs parlementaires.